2007-01-09

Que les choses se placent
Pour 2007, je me souhaite de la santé, du bonheur, de l'amour et de la prospérité! Ayant eu une année difficile en 2006, surtout question santé, j'espère qu'en 2007 les choses se placeront. Dans le vie, malgré les épreuves qui peuvent nous arriver, il ne faut jamais abandonner, mais plutôt se relever les manches et foncer. C'est ce que j'ai fait de peine et de misère en 2006. Parfois, on a beaucoup de marches à monter avant d'arriver au sommet, mais quand on s'en donne la peine, on finit par y arriver, et ce, peu importe le temps que cela peut prendre. Gardez le sourire!
Un camelot de la revue Itinéraire

2007-01-08

CÉLÉBRONS LA VIE

Un Centre pour personnes qui ont soif de contact humain…

Des femmes viennent à ce Centre, participent à des groupes de croissance personnelle et autres activités, découvrent leurs talents, enrichissent leur vie par une meilleure connaissance d’elles-mêmes, réalisent de belles expériences et demeurent positives face aux difficultés.

Des hommes aussi, des pères, prennent la parole au Centre pour exprimer leurs besoins, leur différence et enrichissent les autres par leur présence et leur engagement.

Le Centre est devenu ce qu’il est, après 30 ans, grâce à toutes ces personnes participantes qui sont passées et ont laissé de leur dynamisme, de leur créativité, de leur engagement social et beaucoup d’elles-mêmes. Elles ont créé ainsi un milieu communautaire toujours vivant.

Pauline

Tél. : 514-523-9283

2007-01-06

Je réapprends à vivre

« Depuis ma tendre enfance, j’avais dû vivre dans la noirceur. J’étais loin de mon Dieu d’Amour, je souffrais d’un mal de vivre, profondément ancré en moi, insidieusement… sans que je m’en aperçoive. Je voulais être aimée à tout prix.
Comme ma foi était éteinte, je ne pouvais pas laisser pénétrer l’Amour de Dieu dans mon cœur pour que je sois comblée…
Aujourd’hui je réapprends à vivre, à m’aimer telle que je suis, avec la joie que mon Dieu d’Amour m’a donnée. Ainsi je peux m’épanouir et respirer profondément tout en laissant tomber les barrières qui m’habitaient et qui m’empêchaient de vivre. »

Témoignage de Georges Convert, tiré de ‘Du pain sur la table’ p. 42